Cela fait quelques années déjà que je m’intéresse de près ou de loin à l’espéranto. Force est de constater que je n’ai pas encore poussé mon étude assez loin pour savoir suffisamment le parler. Cependant, aussi étrange que cela puisse me paraître, je comprends déjà mieux des textes d’espéranto que d’anglais. Je croise pourtant l’anglais presque tous les jours de part mon activité et je l’ai normalement appris à l’école. De ce regard là, il y a comme un mystère qui émane de l’espéranto et de (…)
Il fut un bel arbre, qui caressant les cieux, Cajolant les oiseaux, rendait ses frères envieux. Mais une nuit de décembre, un souffle pernicieux, Le fit tomber de haut et le brisa en deux.
Une fois mis en bûche, il voulu se sécher, Regroupa ses morceaux, à l’ombre d’un noisetier. Et c’est là (...)