La foule se lie ou se délieDe gens mouvants aux quatre ventsLa fourmilière de ParisAu matin fuit toujours le tempsChacune des galeries empliesDans le flux de tous les instantsPromène quelques âmes fleuriesEt nombre de visages absentsEt c’est ainsi que je surgisA Montparnasse comme un enfantJe m’y élève et je grandisJusqu’à son parc verdoyantDans les douceurs de ce jardinOù coule un calme reposantL’esprit qui capte ces parfumsOublie, oublie, oublie le temps.
Présence