Quelle était verte ma vallée
Qu’il était rapide mon balai
Lorsqu’il traversait cette contrée.
Chevaucheur agile dans ce rêve fasciné
J’explore le pays des songes émerveillé
Par l’imaculée nature que mon âme peut imaginer.
Un léger vent me déviait vers un village illuminé
Non par le soleil orangé ou par une lanterne électrisée
Mais par les pensées fraternelles des hommes qui y habitaient.
Tous se connaissaient,
Tous se respectaient,
Tous partageaient leur bonheur de vivre (...)
Je nous souhaite des petits plaisirs
et de grandes passions
de longs et tendres câlins
des rires écarlates à foison
de raviver les bons souvenirs
de flâner ça et là sans raison
d’être guillerets dès le matin
en profitant de chaque saison
Je nous souhaite une force démesurée
pour (...)